Depuis que des millions d’internautes s’adressent directement à des IA comme ChatGPT, Gemini, Claude ou Perplexity pour poser leurs questions, les règles du jeu du SEO ont changé. On ne parle plus seulement de positionner une page sur Google, mais d’être compris, cité et reformulé par un modèle génératif.
Cela n’a rien d’une révolution radicale. C’est une transformation logique du référencement naturel, déjà amorcée avec les méta-moteurs, les extraits enrichis et la recherche vocale. Aujourd’hui, elle porte de nouveaux noms : AIO, GEO, LLMO, GAIO, SGEO… autant de concepts qui renvoient à un objectif central : être présent dans les réponses des IA.
Pourquoi le SEO doit s’adapter aux IA ?
Les LLM (Large Language Models) ne « classent » pas les contenus. Ils synthétisent de l’information, issue de millions de sources. Ils détectent des mentions, identifient des entités, extraient des fragments clairs et cohérents.
Ce n’est donc plus une simple bataille de liens ou de mots-clés. C’est une compétition pour être reconnu comme source valide, compréhensible, utile, fiable.
SEO IA : ce que cela change (et ne change pas)
Ce qui change avec le SEO IA
- L’objectif : être mentionné et repris dans les réponses d’IA
- L’unité de contenu : le chunk, le paragraphe clair, la liste synthétique
- L’importance de la structure, des balises HTML propres, des FAQ et tableaux lisibles
- Le rôle des mentions non liées : pas besoin de lien cliquable, une citation claire suffit
Ce qui ne change pas avec le SGEO:
- L’importance d’une intention bien ciblée
- Le besoin de contenus rédactionnels solides, originaux, bien documentés
- Les optimisations techniques : vitesse, responsive, balisage Schema.org
- Le travail de notoriété et de confiance (EEAT)
Comment se préparer concrètement au SGEO ou LLMO ?
Chez Orion Digital Business, nous avons intégré dans nos audits et plans d’action SEO des outils comme SE Ranking(suivi de visibilité, cannibalisation, opportunités de mots-clés) et RM Tech (audit technique, correction, optimisation de la structure).
Ce duo nous permet de :
- Identifier les pages qui manquent de clarté ou de structure pour les IA
- Repérer les contenus non repris dans les résultats IA et les retravailler (chunking, titrage, entités sémantiques)
- Suivre l’impact de nos contenus dans le temps sur des expressions émergentes
Nous produisons ainsi des articles, pages piliers, FAQ et contenus sectoriels capables de répondre aux humains, à Google, mais aussi aux IA.
Être visible, être compris, être choisi.
SEO IA, GEO, LLMO… ce sont des variations d’une même stratégie : fournir de l’information claire, fiable et bien présentée. Le SEO n’est pas mort. Il évolue. Et ceux qui anticipent ces changements aujourd’hui prendront une longueur d’avance sur les IA… et sur leurs concurrents.
Vous souhaitez auditer votre contenu pour savoir s’il est prêt pour les IA ? Contactez notre équipe.
Ingénieur EEA de formation, il débute sa carrière dans les années 1990 chez Transiciel, où il intervient en tant que consultant SI pour des groupes de premier plan dans les secteurs télécoms et bancaires (Cegetel, SFR, Euronext).
Son parcours l’amène ensuite aux États-Unis, où il évolue dans des environnements exigeants :
• chez UPS, dans la logistique numérique,
• puis chez Toyota, dans le développement CRM pour les ventes en ligne.
En 2008, après une mission auprès d’une agence gouvernementale à Madagascar, il fonde sa propre agence digitale d’externalisation. Basée à Madagascar, l’agence s’impose rapidement comme un acteur majeur du SEO, de l’inbound marketing et de la stratégie digitale offshore, grâce à une politique exigeante de formation interne et à une équipe de consultants multi-certifiés.
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